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Mr. Parkinson on Hippurites.
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length and form, between those which have been placed by M. Denys de Montfort in the two different genera, Hippurites, and Batolites organisans; and if this connection be admitted, it may then appear that those differences which that assiduous naturalist has assumed as the foundation of generic distinction, should be considered as at most only marking the distinction of species.

No attempt has hitherto been made to explain the uses of the several parts of this fossil, or to infer from them any thing respecting the habits of the animal itself. M. Picot de la Peyrouse gives the following observations on the subject: “Nous ne connoissons que tres imparfaitement l'analogue marin des Orthocératites. Ceux que Plancus a découverts dans les sables de Rimini, et que Gualtieri a fait graver, grossis aux microscope, suffisent pour convaincre les plus incrédules, que les orthocératites sont de véritables corps marins pétrifiés: mais non pour nous faire connoitre l'usage du siphon, de la gouttiére, des concamérations, &c. Il faudroit, pour y parvenir, découvrir les analogues marins des principales especes de grands Orthocératites, avoir étudié leurs mœurs, leurs habitudes, leur maniére d'être. Que des difficultés désespérantes ne présente pas ce projet! dût il même être rempli, serions nous, pour cela, mieux instruits de 1'usage de cette partie essentielle de l'organisation de cette animal? Le nautile chambré est un des co quill ages les plus cennus. Nous avons la description, on la voyoit en troupes sur la surface des mers, voguer jusques dans les ports les plus frequentés (voyez description du cap. de B. E. tome III. p. 154); nous savons qu'il a des cloisons, et un siphon; nous n'en ignorons pas moins l'usage qu'il en fait? Je crois donc ne mériter aucune blâme, si je ne hazarde point de conjectures sur l'organisation des différentes parties de ces orthocérarites; parcequ'il me seroit impossible de les étayer d'aucune preuve