Livre:Auger - Mélanges philosophiques et littéraires, tome 2.djvu

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TitreMélanges philosophiques et littéraires
Volume2
AuteurLouis-Simon Auger Voir l'entité sur Wikidata
Année d’édition1828
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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Série1 - 2

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TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE TOME SECOND.
LITTÉRATURE. — POÉSIE.
POÉSIE LATINE.

VIRGILE. — Géorgiques. — Étrange projet de l’abbé de Cournand de refaire la traduction de l’abbé Delille 1

OVIDE. — Métamorphoses. — Traduction de Saintange.Jugement sur la dernière édition 8

Fastes. — Définition de ce poëme. — Difficulté de le traduire.— Jugement sur la traduction de Saintange 14
Art d’AImer. — Idée de ce poëme. — Jugement d’une traduction en prose par M. Masson de Saint-Amand 20
Remède d’Amour. — Tristes. — Pontiques. — Héroïdes, etc. — Jugemens sur ces différents poëmes 24

JUVÉNAL. — Causes du discrédit où l’érudition est tombéeen France. — Juvénal comparé à Horace et à Perse. Examen de l’édition avec commentaires 35

PERSE. — Discussion des jugements très divers dont il aété l’objet. — Examen de l’édition avec commentaires de M. Achaintre 50

JEAN Second. — Poètes latins modernes. — Examen de cesdeux questions : « Les modernes peuvent-ils bien écrire en latin ? Sont-ils bons juges de la latinité des anciens ? » Vie de Jean Second. Ses ouvrages et particulièrement ses Baisers. — Traduction de ce dernier ouvrage 59


POÉSIE ITALIENNE.

LE DANTE. — Jugement sur la Divine Comédie, et principalement sur l’Enfer. — Comparaison des différentes traductions de ce dernier poëme. 72


POÉSIE FRANÇAISE


CHARLES D'ORLÉANS. — Sa vie et sa personne. — Ses poésies. —Discussion au sujet des prétendues Poésies de Clotilde de Surville 102

BOILEAU. — Services qu’il a rendus à la poésie françoise par ses leçons et par ses exemples. -Examen de ses ouvrages et définition de leur mérite particulier. — Réfutation de quelques reproches qui lui ont été faits. Son caractère. 111

Notes 151

LA FONTAINE. — Sa vie. — Son caractère. — Ce qu’il faut penser de ses distractions. — Ses habitudes et ses goûts. — Ses liaisons. — Travailloit-il aussi peu ses vers que quelques uns l’ont pensé ?- Son portrait physique et son portrait moral. 157

J.-B. ROUSSEAU. — Son caractère. — Sa lutte avec Lamotte. — Conjectures au sujet des fameux couplets qui lui ont été attribués. — Ses malheurs. — Ses torts. — Ses ouvrages 216

GRESSET. — Son talent consiste principalement à reproduire avec fidélité les impressions qu’il a reçues des diverses circonstances où il a été placé. Revue de ses ouvrages considérés sous cet aspect. — Sa manière comme versificateur 233

BERNARD. — Critique d’un essai sur sa vie et ses ouvrages, placé en tête d’une nouvelle éditionl de ses œuvres. — Quelques détails peu connus sur sa personne. — Jugement sur quelques uns de ses ouvrages 1iosthumes 247

BERTIN. — Comparé à Parny. — Jugement sur ses élégieset quelques autres opuscules. — Détails sur ses derniers instants 254

PEZAI. — École de Dorat. — Pezai, son disciple le plus fidèle. — Anecdote sur sa personne- Jugement sur ses ouvrages 261

SAINT-MARC. — Autre disciple de Dorat. — Ses opéras et ses poésies fugitives. — Ses vers lus en 1778, sur le théâtre de la Comédie Françoise, au couronnement du buste de Voltaire 268

VENANCE. — Capucin et poète. — Sa vie extraordinaire et sa fin déplorable. — Analyse de sa Quête du Blé. — Il concourt pour le prix des Jeux Floraux. — Particularités à ce sujet 274

LEBRUN. — Sa grande inégalité, cause de la différence extrême des jugemens portés sur lui. — Motifs qui l’ont fait attaquer avec une rigueur excessive par un critique distingué, — Sa défense contre ce qu’il y a d’injuste dans ces attaques. — Sa manière de concevoir l'ode. — Son système en fait de style et de versification 280

Réponse à quelques récriminations de M. Dassault, contre l'apologie qui précède 288

CAMPENON. — Caractère général de son talent. — Jugement sur son poëme de la Maison des Champs 297

M1LLEVOYE. — Histoire abrégée de l’élégie chez les anciens et chez les modernes. Genre et mérite particulier des élégies de Millevoye 308

M. BAOUR DE LORMIAN. — Vogue extraordinaire qu’ont eue les Nuits d’Young. — Jugement sur cet ouvrage, plusieurs fois traduit en vers françois. Imitation abrégée qu’en a faite M. de Lormian 316

M. CREUSÉ DE LESSER. — Révolution opérée dans notre littérature et principalement dans notre poésie. — La chevalerie considérée dans sa réalité et sous son point de vue idéal. — Avantages des fictions chevaleresques. — Romans de chevalerie. — Jugement sur le poëme de la Table ronde. 321

CHANSONN1ERS. — De Piis. — Despréaux. — Désaugiers. —Exactitude du style et richesse de la rime portées peut-être trop loin dans la chanson. — Abus des mots donnés. Fatigante répétition des vieilles épigrarnmes en couplets, contre les diverses professions. — Chansons faites sous l’empire par ordre de la police 334


LITTÉRATURE. — ROMANS.

ORIGINE DU ROMAN. — Causes du plaisir que procure ce genre d’ouvrages. — La disposition la plus favorable pour la lecture des romans. — Ce sont les femmes qui en produisent et en consomment le plus. — Les qualités et les défauts qu’elles apportent dans ces compositions. — Rapports nombreux entre le roman et le genre dramatique. 355

LES AMOURS DE PSYCHÉ ET DE CUPIDON. — Origine de cette fable. — Sujets qu’elle a fournis à tous les arts. — Explications morales qui en ont été données. — Elle tient le milieu entre le merveilleux de la mythologie et celui de la féerie 368

LES MILLE ET UNE NUITS. Elles devoient naître chez un peuple conteur tel que les Arabes. — Elles sont encorela peinture fidèle des mœurs de l’Orient. — Elles contiennent des aventures qui ont fait le tour du globe, et qu'on retrouve dans toutes les littératures 372

RABELAIS. — Anecdotes sur sa vie et sur sa mort, également cyniques et peu croyables pour la plupart. — Objet qu’il s’est proposé dans son roman. — Ce qu’on y voit le plus clairement est le mépris de la religion et de ses ministres. — Étonnante sécurité dans laquelle a vécu l’auteur de tant d'impiétés 379

CERVANTES. — Sa vie aventureuse et infortunée. — Ses diverses productions. — Son portrait physique et moral. — Circonstances favorables dans lesquelles il a composé Don Quichotte. — Coup-d’œil sur la chevalerie, à propos des romans qu’elle fit naître, et dont celui de Cervantes est la satire. — Projet de l’auteur en attaquant ces productions extravagantes. — Reproche qu’il a essuyé à ce sujet. — Examen du roman de Don Quichotte, sous les rapports de l’invention, de la composition, des caractères, du costume et du style. — Ce chef-d’œuvre comparéà Tom Jones et à Gil Blas 389

ROBINSON CRUSOÉ. — But de l'auteur. — Utilité du livre. — Éloge qu’en a fait J.-J.. Rousseau, dont les idées sur l’éducation ont beaucoup d’analogie avec la fable inventée par Daniel de Foe. — Charme particulier de l’ouvrage. — A quoi il est dû et quand il cesse. — Distinction entre les ouvrages d’imitation qui aspirent à faire illusion et ceux qui n’y prétendent pas 424

SÉTHOS. — Ouvrage moins connu qu’il n’est digne de l’être, . — En quoi il ressemble au Télémaque et en quoi il en diffère. — Il est à la fois un livre d’érudition et un livre de morale. — Idée du sujet. — Défauts de l’ouvrage. Mérite particulier qui le caractérise 437

AGATHOCLÈS, ou Lettres écrites de Rome et de Grèce au commencement du quatorzième siècle. — Dernière luttedu paganisme vieilli contre le christianisme naissant. — Causes qui devoient faire triompher la religion du Christ. — Rapports extraordinaires entre ce roman et les Martyrs de M. de Chateaubriand. — Jugement sur le premier de ces ouvrages. -Vices des romans appelés historiques. 445

MADAME DE MAINTENON, par Madame de Genlis. — Encore contre les romans historiques. — Madame de LaVallière et Madame de Maintenon, comparées comme héroïnes d'un roman. — Préférence donnée à l’une sur l’autre sous ce rapport. — Erreurs historiques commises par l’auteur. — Fautes plus graves contre le jugement et le goût 454

CORINNE, par Madame de Staël. — Ce que l’auteur se propose dans ses romans, et les deux sortes de personnages qu’elle y met en jeu. — L’ouvrage, à la fois voyage et roman, jugé sous ces deux rapports. — Analyse du roman. — Examen des caractères. — Doctrines philosophiques et littéraires de Madame de Staël. — Son style 466

MATHILDE, par Madame Cottin. — Fond commun de tous les romans pathétiques. — Analyse de l’ouvrage. — Jugement sur l’action, sur les personnages et sur les pensées 485


FIN DE LA TABLE DU TOME SECOND


IMPRIMERIE ET FONDERIE DE J. PINARD,
RUE D'ANJOU-DAUPHINE, N°8, À PARIS