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duces, ut dolorem huic crees, adeo ut nuditatem ejus reveles, hac vivente." [1]
Le Maistre de Saci, in his Bible (Paris, 1730), has "Vous ne prendrez point la sœur de votre femme pour la rendre sa rivale, et vous ne decouvrirez point dans elle du vivant de votre femme ce que la pudeur veut qui soit caché."
Dathius (d. 1791), "Uxoris sororem ne in matrimonium ducas ad æmulationem ejus excitandam cum hac propter illam concunabens ilia vivente."
The great Calmet (d. 1757), in his Bible and commentary, has "Vous ne prendrez point la sœur de votre femme pour la rendre sa rivale: et vous ne decouvrirez point dans elle, du vivant de votre femme, ce que la pudeur veut qui soit caché;" and then, in a note "Ce texte exprimé de cette manière, marque qu'il n'est pas permis d'avoir pour femmes les deux sœurs en même temps, comme Jacob eut Rachel et Lea, mais seulement successivement."
The opinion of Michaelis is well known from his general work on the laws of Moses, and his special treatise on these marriage laws. See "Commentaries on the Laws of Moses," c. vii. And "Abhandlung von den Ehegesetzen Mosis, welche Heyrathen in die Nahe Freundschaft untersagen." Second Edition. Gottingen. 1768. P. 227, and sqq.
J. C. F. Schultz (Ordinary Professor of Theology and Oriental Languages at Giessen), in his "Scholia" (Norimbergæ, 1783), says -צרר (conf. 1 Sam. i. 6) etiam apud Arabes usurpatur de æmulatione duarum unius mariti conjugum. Moses igitur, qui diserte addit בחייה (eâ vivente) matrimonium cum uxoris mortuæ sorore
- ↑ "A wife with her sister thou shalt not marry to cause her grief, by uncovering her nakedness whilst she is alive."
