Livre:Jammes - Le Deuil des primevères, 1920.djvu

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TitreLe Deuil des primevères Voir l'entité sur Wikidata : 1898-1900
AuteurFrancis Jammes Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionMercure de France
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1920 (13e éd.)
BibliothèqueInternet Archive
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AvancementÀ valider

Pages



Élégie première :
Mon cher Samain, c’est à toi que j’écris encore 
 11
Élégie seconde :
Les fleurs vont de nouveau luire au soleil pour moi 
 15
Élégie troisième :
Ce pays a la fraîcheur molle des bords des eaux 
 30
Élégie quatrième :
Quand tu m’as demandé de faire une élégie 
 32
Élégie cinquième :
Les anémones d’Octobre aux pelouses dorées 
 37
Élégie sixième  :
Le paysage était humble où tu étais si belle 
 39
Élégie septième :
Dis-moi, dis moi, guérirai-je ? 
 44
Élégie huitième :
Toi qui ne m’as pas fait mal encore, femme inconnue 
 47
Élégie neuvième :
Sur le sable des allées 
 53
Élégie dixième :
Quand mon cœur sera mort d’aimer : sur le penchant 
 55
Élégie onzième :
Où es-tu ? Quelle a été ton existence paisible ? 
 62
Élégie douzième :
Ô grand vent qui soulèves la voile des vaisseaux 
 67
Élégie treizième :
Lorsque l’on jouera de l’orgue pour nous seuls 
 71
Élégie quatorzième :
Mon amour, disais-tu. — Mon amour, répondais-je 
 74
Élégie quinzième :
J’ai retrouvé, dans cette flore, une herbe sèche 
 76
Élégie seizième :
Les roses du château de X 
 79
Élégie dix-septième :
Il a plu. La terre fraîche est contente. Tout luit 
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