Livre:Abbadie - L’Art de se connaitre soi-meme.djvu

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TitreL’Art de se connaître soi-même Voir l'entité sur Wikidata
Sous-titreou la recherche des sources de la morale Voir et modifier les données sur Wikidata
AuteurJacques Abbadie Voir l'entité sur Wikidata
Année d’édition1715
BibliothèqueInternet Archive(g)
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Note : Le contenu des pages 22, 23, 254 et 255 est tiré de l’édition de 1749.

Le contenu des pages 118 et 119 est tiré de l’édition de 1693.
(à remplacer par l’édition de 1715 lorsque disponible)


22 23

118 119

254 255

TABLE
des
CHAPITRES.

OÙ l’on donne une idée generale de la bassesse & de la misere de l’homme, qui sont les premieres de ses qualités qui frapent nôtre esprit. 
Où l’on fait des reflexions plus particulieres sur l’homme, & où l’on tâche de decouvrir sa nature, ses perfections & sa fin, pour trouver quelque consolation à ce qu'on a decouvert de sa bassesse et de sa misere.
Où l’on tâche de connoître l’homme, en considerant la nature & l’étenduë de ses devoirs. 
Où l’on continuë à faire quelques reflexions sur le Decalogue, le considerant comme l’expression de la loy naturelle accommodé à l’état des Israëlites. 
Où l’on continuë à examiner l’étenduë de nos devoirs, en considerant la loy du Decalogue. 
Où l’on montre l’étenduë de la loy naturelle, en la considerant dans l’Evangile & par raport à l’homme immortel. 
Des forces morales de l’homme, ou des motifs qu’il trouve en luy-même, pour se determiner dans ses actions. 
Où l’on explique ce que peut le sentiment de nôtre immortalité sur nôtre cœur. 
Où l’on continuë à montrer ce que peut le sentiment de nôtre immortalité sur nôtre cœur. 
OÙ l’on recherche la source de nôtre corruption, en traitant de la premiere de nos facultés, qui est l’entendement. 
Où l’on continuë à faire voir, que la source de nôtre corruption n’est point dans l’entendement. 
Où l’on recherche la maniere dont l’esprit trompe le cœur. 
Où l’on considere le commerce d’illusion, qui est entre le cœur & l’esprit, & comment Dieu seul le detruit par sa grace. 
Où l’on continuë à chercher les sources de nôtre corruption, en considerant les mouvemens & les penchans de nôtre cœur. 
Où l’on examine les defauts de l’amour de nous-mêmes. 
Où l’on fait voir que l’amour de nous-mêmes allume toutes nos autres affections, & est le principe general de nos mouvemens. 
Où l’on continue à montrer que l’amour de nous-mêmes fait naître tous nos mouvemens. 
Où l’on considere les inclinations les plus generales de l’amour de nous-mêmes, & premierement le desir de bonheur. 
Où l’on considre les illusions que l’amour propre se fait, pour corriger les defauts qu’il trouve dans le bonheur qu’il recherche. 
Où l’on continüe à considerer les inclinations generales de l’amour de nous-mêmes, du desir de la perfection. 
Où l’on traite des vices generaux qui coulent de l’amour propre, & premierement de la volupté. 
Où l’on continue à considerer les divers caracteres de la volupté. 
Où l’on traite des déreglemens generaux de l’amour propre, & particulierement de l’orgueil. 
Où l’on examine tous les déreglemens qui entrent dans la composition de l’orgueil. 
Où l’on considere le second déreglement de l’orgueil. 
Du troisiéme déreglement qui compose nôtre orgueil, qui est la vanité. 
Où l’on continüe à examiner les caracteres de la vanité des hommes. 
Des deux derniers caracteres de l’orgueil, qui sont l’ambition & le mépris du prochain. 
Fin de la table des chapitres.