Livre:Aimard - Ourson-tête-de-fer.djvu

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TitreOurson Tête-de-fer Voir l'entité sur Wikidata
AuteurGustave Aimard Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionAmyot Voir et modifier les données sur Wikidata
Année d’édition1876
Publication originale1868
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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AvancementÀ valider

Pages

TABLE
DÉDICACE
Causerie en forme d’introduction, dans laquelle l’auteur révèle au lecteur comment il fut amené, au moment où il s’en doutait le moins, à raconter la présente histoire 
 1
I. — 
Où le lecteur fait connaissance avec le capitaine Ourson Tête-de-Fer 
 37
II. — 
Comment Boute-Feu et son ancien engagé jouèrent aux dés et ce qui s’en suivit 
 53
III. — 
De quelle façon le capitaine Ourson Tête-de-Fer disposa de la fortune qu’il avait gagnée, au passe-dix, à son ancien maître 
 71
IV. — 
Comment les flibustiers rencontrèrent le Poletais occupé à cerner, tout seul, une Cinquantaine espagnole 
 85
V. — 
Ce qui se passa dans la Savane, entre les Frères de la Côte et les Espagnols, et comment ils se séparèrent 
 101
VI. — 
Comment la Taquine mit à la voile et quelle chasse-partie le capitaine Ourson Tête-de-Fer fit jurer à son équipage 
 119
VII. — 
De quelle façon Ourson Tête-de-Fer acheta aux Espagnols les provisions qui lui manquaient et se procura un guide 
 149
VIII. — 
Comment une causerie de jeune fille se termina par un sanglot 
 175
IX. — 
Où don Enrique Torribio Moreno se dessine avantageusement 
 191
X. — 
Comment causèrent les deux matelots et de ce qu'il s'en suivit 
 205
XI. — 
Comment la Taquine et le San-Juan-Bautista se rencontrèrent 
 219
XII. — 
Comment doña Lillia rendit un peu d’espoir à sa cousine 
 237
XIII. — 
Où don Torribio Moreno et son ami causent de leurs petites affaires 
 247
XIV. — 
Où le capitaine Barthélemy met l'œil à une fente pour mieux voir, et l'oreille à une cloison pour mieux entendre 
 257
XV. — 
Où le capitaine Barthélemy va chercher son Gelin 
 271
XVI. — 
Comment le capitaine Barthélemy rencontra de vieux amis 
 285
XVII. — 
Comment Ourson Tête-de-Fer, grâce à son matelot, eut une fort agréable surprise 
 295
XVIII. — 
Où don Torribio Moreno commence à s’inquiéter 
 305
XIX. — 
Plan d’attaque 
 317
XX. — 
Où don Torribio Moreno s’aperçoit que ses pressentiments ne le trompaient pas 
 325
XXI. — 
Où don José Rivas de Figueroa se confesse à don Lopez Aldao Sandoval 
 337
XXII. — 
Dénouement 
 347

À
MONSIEUR PAUL GRANIER DE CASSAGNAC
Rédacteur du journal le Pays,
chevalier de la légion d’honneur


Mon cher Paul,

Tous deux nous faisons partie de la grande République des Lettres. Cette confraternité littéraire m’a fait vous connaître, il y a un an à peine. Ce laps de temps si court m’a permis cependant d’apprécier ce qu’il y a en vous de cœur et d’intelligence.

Malgré la différence sensible qui existera toujours entre nos opinions politiques, c’est avec un plaisir véritable que je vous dédie ce livre, qui a servi de trait-d’union à notre liaison, et que je saisis ainsi l’occasion de me dire hautement et sincèrement


Votre ami,
Gustave AIMARD.


Paris, 15 octobre 1868.