Livre:Desnoiresterres - Voltaire à Cirey.djvu

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TitreVoltaire et la société française au XVIIIe siècle.
VolumeT. 2 Voltaire à Cirey
AuteurGustave Desnoiresterres Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionDidier
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1871 (2e éd.)
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TABLE

I. 
— La marquise du châteelet. — Les lettres philosophiques. — Voltaire en fuite. — Gabrielle-Émilie. Le Tonnelier de Breteuil. — Son portrait par madame du Deffand. — Mot de Thomas à ce propos. — Premières relations. — Le marquis de Guébriant. — Il l’abandonne. — Madame du Châtelet s’empoisonne. — Secourue à temps. — Le duc de Richelieu la console. — L’amitié succède à un sentiment plus vif. — Voltaire, qui l’avait vue enfant chez son père, renouvelle connaissance avec elle. — Une visite rue du Long-Pont. — La duchesse de Saint-Pierre et M. de Forcalquier. — La fricassée de poulets et les chandelles de Charonne. — Voltaire brocanteur. — Rameau. — À la recherche d’un poème qu’il ne peut obtenir. — Mimi-Dancourt. — Intervient auprès de Voltaire. — Réponse favorable de celui-ci. — Samson. — Opinion de la marquise sur la musique de Rameau. — Ce dernier, un pédant en musique. — Le Temple du Goût et les marionnettes. — Parodie de d’Allinval. — Tour que lui jouent les Italiens. — Romagnesi. — Épître sur la Calomnie. — Rufus. — Linant et Lefebvre. — Générosité de Voltaire à leur égard. — Adélaïde du Guesclin. — Sifflée dès le premier acte. — Couci-Couci. — Redemandée à la seconde représentation. — Le poêle la retire. — Voltaire négeciateur de mariage. — Mademoiselle de Guise. — Sa famille. — M. et madame de Guise. — Le scandale de Paris. — Richelieu épouse sans dot. — Le mariage se fait à Monjeu. — Voltaire et madame du Châtelet y assistent. — Mécontentement de la maison de Guise. — Les princes de Lixin et de Pons refusent de signer au contrat. — Ressentiment du duc. — Conseils du poëte à la nouvelle mariée. — Duel entre Richelieu et le prince de Lixin. — Ce dernier reste sur la place. — Les Lettres philosophiques. — Voltaire les soumet à Maupertuis. — Ses inquiétudes. — Ce qu’il tente pour détourner le danger. — Thiériot vend une édition anglaise à unlibraire de Londres. — Opinion des Anglais sur ce livre. — François Jore. — Quand les Lettres commencèrent-elles à être imprimées ? — Dale erronée. — Voltaire veut ajourner l’édition. — Le libraire au dix-huitième siècle. — Claude Jore. — Ses contraventions et ses emprisonnements. — François non moins intrépide que son père. — Préface du procès du P. Girard et de la Cadière. — Écrite par Desfontaines et publiée par Jore. — Voltaire leur sauve la Bastille. — Les Lettres imprimées. — Recherches du garde des sceaux. — Vanneroux. — Elles se débitent dans Paris. — Jore à la Bastille. — Charge Voltaire. — Descente de police, rue du Long-Pont. — La cassette de Voltaire au pillage. — Le livre brûlé au pied du grand escalier. — Considérations sur l’ouvrage. — La société française et la société anglaise opposées l’une à l’autre. — L’épigramme et la satire compromettent la vérité des jugements. — Descartes et Newton. — Shakespeare et Jacques Grevin. — Critique judicieuse de Le Coq de Villerey. — Ordre d’arrêter Voltaire et de le mener à Auxonne. — M. de la Briffe le trouve délogé. — Désolation de madame du Châtelet. — D’Argental conseille l’obéissance. — Aversion de Voltaire pour la prison.-Faux bruits sur le lieu de son refuge. 
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II
Cirey et Lunéville. — Retour à Paris. — Chiffonneries avec Desfontaines. — Alzire. — Le camp de Philisbourg. — Arrivée de Voltaire. — Il est accueilli à bras ouverts. — Ode de Moncrif. — Grande dépense des officiers. — Train du duc de Richelieu. — Voltaire arrêté comme espion. — Soupe avec le prince de Conti au lieu d’être pendu. — L’académicien Adam. — Départ du poëte. — Mauvais effet de son séjour à l’armée du Rhin. — Il vient s’établir à Cirey. — La comtesse de la Neuville et madame de Champbonin. — Maupertuis et Clairaut. — Madame du Châtelet les voit tous les jours. — Répétition de Samson, chez M. Fagon. — Une petite querelle de ménage. — La messe de minuit. — La marquise court les églises avec Maupertuis. — Voltaire se lasse de piquer des ouvriers. — La Pucelle. — L’idée en vient à Voltaire à l’hôtel de Richelieu. — Lettre du lieutenant de police. — Fin de l’exil du poëte. — Retour à Paris. — La géométrie et la physique à la mode. — Petit dépit que Voltaire en témoigne. — Nouvelles imprudences. — Il quitte brusquement Paris. — Va à Lunéville. — Varinge et le bibliothécaire Duval. — Madame de Richelieu et le père Dallemant. — Triomphe de la duchesse. — Lettre de remerciment du cardinal Albéroni. — Thiériot autorisé à la faire circuler. — La colonie de Cirey. — Linant. — Ses chiffonneries avec les époux Demoulin. — Son peu de gratitude. — Mécontentement deVoltaire. — Linant précepteur. — Déclaration ridicule à la comtesse de la Neuville. — Un quatrain répare tout. — La Mort de César. — Voltaire l’envoie à l’abbé Asselin. — Jouée par les écoliers à la distribution des prix du collège d’Harcourt. — Interprétée à merveille. — MM. Bernard et de La Rivière. — Enchantement du poëte. — La tragédie imprimée sur une copie informe. — Désolation de Voltaire. — Article malveillant de Desfontaines. — Voltaire réplique dans le Mercure à la critique des Observations. — Lettre de Desfontaines à Voltaire. — Son ultimatum. — Desfontaines était-il honnête homme comme critique ? — L’abbé Trublet tranche la question. — Biographie de Desfontaines. — Une traduction trop libre. — Exigences excessives de Voltaire. — Desfontaines n’entend pas s’y soumettre. — Suppression du Nouvelliste du Parnasse. — Desfonlaines et sa cure de Thorigny. — Il songe à résider. — Conflit entre lui et son évêque. — Chasse un ecclésiastique envoyé en mission. — Rupture avec M. de Bayeux. — Il crée les Observations sur les écrits modernes avec l’abbé Granet. — Lettre doucereuse de Voltaire. — Nouveaux griefs. — Inqualifiable procédé du journaliste. — Épître de Voltaire à Algarotti. — Insérée dans les feuilles. — Indignation du marquis du Châtelet et de sa femme. — Libelle contre l’Académie. — Arrêt de la chambre de l’Arsenal. — Le Franc et Zoraïde. — Lettre outrecuidante de son auteur à la Comédie française. — Alzire. — Obtient le plus grand succès. — Voltaire prend son bien où il le trouve. — Un vers de Racine fils. — Saillie de l’abbé de Voisenon. 
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