Page:Poems & poèmes.djvu/49

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Et nous pleurons ensemble ainsi que nous rions
A l'heure passagère et vide — Ta présence.
Amour, n'est donc jamais ce que nous voudrions ?

Quand perdras-tu sur moi ton étrange puissance ?
Mon cœur malade, ah ! quand va-t-il ne plus sentir.
Ou des yeux oublieux de la convalescence.

Quand pourrai-je sans peur te regarder partir ?


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