Livre:Le spiritisme et l'anarchie devant la science et la philosophie - J. Bouvéry.pdf

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TitreLe spiritisme et l’anarchie devant la science et la philosophie
AuteurJ. Bouvéry Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionChamuel, éditeur
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1897
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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Table des matières

Pages.
Lettre à M. Revel 
 1
Chapitre I 
 5
Les apôtres marchands d’amulettes. — L’esprit est libre. — Les spirites ? tous fous ou charlatans. — Le bon sens, obstacle à tous les progrès. — Le magnétisme et le somnambulisme devant l’Académie de médecine. — Un crime de lèsè-humanité. — Ligue contre les bastilles officielles !
Chapitre II 
 13
La jeunesse contemporaine est-elle lasse de la science ou de l’enseignement des savants modernes — Le Crédo matérialiste. — Jules Soury. Frédéric. Nietsche. — L’homme n’est qu’une machine. — La loi du plus fort est la meilleure. — M. Clémenceau et l’avenir de l’humanité. — Réaction en faveur de la science une, sans épithète. — Le spiritisme vieux comme le monde se retrouve chez tous les peuples. — Peut-on croire à l’existence de choses qu’on n’a pas vues ?
Chapitre III 
 24
Les phénomènes spirites ne s’expliquent scientifiquement que par la connaissance du périsprit. Supprimez le périsprit, les phénomènes ne s’expliquent que par le miracle ou le charlatanisme. — Bourdeau, Huxley, Bernheim, Descartes, Kant. — Le colonel de Rochas. — Les Pères de l’Église. — Le périsprit est-il de la matière ? Les Indous. — Les Égyptiens. — Le quatrième concile de Constantinople. — Delanna. — Papus. — Horace Pelletier. — Extériorisation du périsprit. — L’amputé et son périsprit. — M. Lecomte et ses photographies. — L’ingénieur Palazzi. — Dis-moi l’état physiologique de ton périsprit, je te dirai l’état de ton âme. — L’âme possède-t-elle l’immortalité native. — L’esprit est tout ; la matière n’est rien. — La matière est tout, l’esprit, l’âme n’est rien.
Chapitre IV 
 56
William Crookes, docteur Gibier : la guerre indigne qu’on leur a faite, — Les conditions scientifiques exigées par Crookes. — Je ne dis pas que cela est possible, je dis que cela est. — Embarras des savants à la recherche de la « petite bête ». Tous hystériques. — L’influence de la lumière sur les phénomènes. — Examen critique des apparitions de Katie King. — M. Jaurès. — U monde nouveau à créer.
Chapitre V 
 83
Apparition d’esprits chez un général russe, pendant six mois. — Vue à distance. — Prophéties réalisées. — Dr Metzger.
Chapitre VI 
 92
Différents phénomènes physiques spiritique. — Désagrégation et reconstitution instantanées d’objets matériels. — Lombroso, Lodge, les docteurs Ch. Richet etOchorowicz, etc. — Le compas des savants est trop petit. — Opération chirurgicales sans douleur. — Une fontaine tarie par la volonté. — Ignorabimus !
Chapitre VII 
 107
Les possédés. — L’incorporation. — La révocation de l’Édit de Nantes. — Impuissance des savants. — M. Pierre Janet.
Chapitre VIII 
 114
Les légendes du Thibet. — Le Père Huc puni pour avoir dit la vérité. — L’analogie entre les phénomènes spiritiques et les merveilles de nos sciences. — La foudre photographe ! — La statue de Pygmalion. — La transmission de pensée chez les sauvages. — Son avenir chez les civilisés. — Le Dalaï-Lama. — Rapports directs avec Dieu ! Pourquoi l’oubli de nos vies antérieures ? — Réminiscence de ces mêmes vies antérieures. — Impuissance de nos adversaires.
Chapitre IX 
 147
La pluralité des existences. — Jésus l’enseigne à ses disciples. — Celui qui est ignorant sur la terre, le sera dans le monde des esprits. — M. Alfred Fouillée. — On n’apprend pas à être poète. — Le génie ne peut s’acquérir dans une existence. — Apprendre c’est se ressouvenir. — Allan Kardec et la réincarnation. — Le « rêve » de M. Clémenceau. — Ada Nigri. — M. Édouard Schuré. — La « Marseillaise » de demain.
Chapitre X 
 165
Le spiritisme est-il une science ? — Conditions morales et physiques pour évoquer. — Jules Lermina. Différents genres de tricheurs. — M. Clémenceau et MM. Williams. — Les frères Davemport et la bêtise humaine. — Sans l’âme et sans la science de l’âme, rien de bon ne peut se montrer.
Chapitre XI 
 183
Pourquoi les religions n’ont pas tenu leurs promesses. — Léon XIII. — Ceux qui devraient être punis ne sont pas ceux auxquels on pense. — Dieu ne connait pas de parias. — Dieu ne punit ni ne récompense. M. Jean Izoulet et l’héritage des aïeux.
Chapitre XII 
 190
La séparation de la science et de la philosophie est une grave faute. — Pourquoi le monde moderne est-il athée et néantiste ? — La théories des « deux morales » perd l’Humanité. — L’Europe et ses colonies. — L’exemple du major Martin. — Envahissement des Asiatiques. — Il ne doit pas y avoir des industries dangereuses pour l’ouvrier, pour l’employé qui y travaillent. — Progrès intellectuels et décadence morale. — Les riches et les puissants sont-ils heureux ? — Difficulté de rester honnête. — Crédo révolutionnaire. — M. de Molinari et l’expropriation des grandes fortunes. — Erreurs des socialistes. — Lorsqu’on a pour but le bien général, on ne doit pas craindre de se déjuger. — Périsse l’Humanité si la souffrance doit toujours exister. — Une nouvelle orientation scientifique et philosophique seule peut sauver la société. — Les premiers hommes étaient-ils des fils de singes et des brutes ? — Livingstone, de Brazza, de Quatrefages, Élisée Reclus, R. Walace, Topinard, etc., les crânes de Cro-Magnon, de la Chancelade, de l’Homme-Mort, contre les anthropologistes darwiniens voulant que les premiers hommes aient été des brutes. — Les primitifs modernes ne sont pas ce qu’on pense généralement. — Réaction esclavagiste. — Il n’y a pas de peuplades athées. — La musique chez les sauvages. — Le communisme n’est possible que chez les primitifs. — L’esclavage est plus doux, plus humain chez les primitifs que chez les civilisés. — L’anthropophagie serait due aux sacerdoces religieux. — Le Waterloo de la théorie de l’évolution matérialiste. — Le prince Henri d’Orléans et les « demi-civilisés ». — M. Bonjean et les enfants coupables ou abandonnés. — Les enfants de voleurs, d’assassins, donnant des leçons de morale aux « honnêtes gens ». — Connais-toi toi-même. — Il faut à trente-huit civilisés un fonctionnaire pour savoir se conduire. — La santé chez les civilisés et chez les sauvages. — La couvade. — Anciennes civilisations. — Partout où l’absolutisme catholique a dominé il a frappé les nations de stérilité. — Les rites, les fêtes chrétiennes ne sont que d’anciennes coutumes des religions aryennes ou païennes.
Chapitre XIII 
 316
L’apparition de la vie sur la Terre. — Impuissance des matérialistes pour expliquer la forme. — L’âge d’or de la Bible et des poètes démontré par la science. — Tout est régi par des lois, prouvant l’existence d’une puissance

supérieure. — Impossible de trouver des traces du singe-homme ou anthropopithèque. — Pourquoi les singes n’engendrent-ils plus des singes-hommes ? — L’homme à queue de singe. — Le « que scais-je ? M de Montaigne. — La guerre et la sélection, ces deux moitiés du Dieu des darwiniens mis à néant par l’ethnologie, la paléontologie et la physiologie. — Le monde végétal et le monde animal sortent d’un certain nombre d’archétypes semés par Dieu. — Les premiers hommes. — L’époque glaciaire. — La théorie de M. Stanislas Meunier sur les bolides. — Dieu aurait été bien imprévoyant de créer les premiers hommes « sans raison » au milieu de la faune géante qui existait à sa création. — Une humanité supérieure a dû précéder l’humanité inférieure. — L’existence des « hommes-Dieu » ou « Elohims » de la Bible est signalée dans le monde entier. — L’Atlantide de Platon. — Les Aryens. — Les Maya. — Les Basques. — L’homme ayant été créé bon, pourquoi le mal ? — Bonaparte accuse la société d’avoir créé le mal. — Le suicide de Prévost-Paradol. — Pourquoi Taine hésita dans l’expression de sa pensée. — Ahriman triomphe d’Ormuzd. — Charcot. — Mort aux conventions mensongères ! — Réaction contre l’importance de la matière. — La déroute de l’atomisme. — Les rayons X. — La photographie de la pensée. — Un Novum organum moderne S. V. P. — Immatière n’est pas zéro. — L’attraction universelle de Newton. — L’âme des hommes et l’âme des bêtes. — La

théorie de Cardan. — Les leçons de la nature et du monde animal. — Le rêve de M. Berthelot se réalisera. Le progrès est la suprême loi de l’univers ; devant lui tout doit s’incliner.
Chapitre XIV 
 384
Les phénomènes de vibrations. — Les vibrations sont un langage. — De tous les êtres, de toutes les choses, s’échappe un rayonnement fluidique. — Extériorisation de la pensée. — Reichenbach, colonel de Rochas, Durville, les docteurs Chazarin, Lhuys, Baradue, Jules Bois, Faucachon. — L’esprit meut la matière. — Rien ne se perd, application de cet axiome aux phénomènes physiques et aux phénomènes moraux. — Les docteurs Gibier, Ch. Richet, J. Izoulet. — Saint-Yves d’Alvédre, Mezmer, Balzac, Papus, Léon Denis. — Les souvenirs de tous nos actes, de toutes nos pensées reparaissent au moment de la mort. — L’amiral Beaufort, M. Ed. Rod. — Le doit et avoir de l’âme la suit partout. — Dieu ne punit pas, c’est nous-mêmes qui nous punissons. — Le pourquoi des attentats révolutionnaires. — Henry Fouquier et la marmite de la Révolution. — Me Lagasse et les bourgeois. — Shakespeare. Les dieux d’Homère.
Chapitre XV 
 416
Les victimes des individus et des sociétés peuvent se venger. — Il n’y a pas de prescription pour la punition, les moyens employés. — Types d’anarchistes : Marat, Mazzini, Vaillant. — Le vrai anarchiste exècre à force d’aimer. — Paul Desjardins, Henry Fouquier, Paul Adam, Tarde, R. Coppée, Georges Montorgueil, Leroy-Beaulieu. — La planète est un corps vivant, elle subit comme le corps de l’homme, l’influence de l’état moral et physique de l’humanité. — M. Victor Meunier, le docteur Bouchard, Trélat, Pasteur et le monde des infiniment petits. — La maladie des microbes et de la planète — Moins d’aumônes, moins de prières et plus de justice ! — Les prophètes annonçant la destruction d’une société. Sophocle et les Erynnies. — La prédiction de Cazotte. — La nuit du 4 août. — Jeanne d’Arc et les armées d’esprits. — Jésus n’est, d’après la science moderne, qu’un charlatan ou un déséquilibré. — Pourquoi la Révolution de 1789 fit-elle de si grandes choses ? — Écoutons les Revenants !
Conclusion 
 451
Errata 
 459


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