Livre:Scheffer - Herméros, 1899.djvu
Titre | Hermeros |
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Auteur | Robert Scheffer |
Maison d’édition | Édition du Mercure de France |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1899 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
Néos disait 9
I. Les sombres pourpris de mon cœur 11
II. Toi la Vie et toi la Mort 13
III. Tresse du lierre 15
IV. En quelque peine qu’on te dise 17
V. L’Etoile sur ton front 19
VI. La nuit fait le mystère 20
VII. L’azur tourbillonna 21
VIII. Prends mes larmes 22
IX. Tu partis un matin 23
X. Tu le vois vide 25
XI. O des prés endormis 27
XII. J’ai résigné dans tes mains fortes 29
XIII. Par des allées de deuil 31
XIV. Ne me demande rien 33
XV. Si tu vois cette perle 35
XVI. Sur ma bouche ta bouche 37
XVII. A l’ombre qui passa 39
XVIII. Devant que le soleil 41
I. L’horizon est teinté de rose 45
II. L’exquise splendeur 46
III. Reste, tandis que je passe 48
IV. A mes printemps morts j’ai dit 49
V. Comme un cygne très blanc 51
I. Le soir bleuit les collines 55
II. Eclose de la mer 56
III. Claire dormant 58
IV. Dans le feuillage roux 60
V. … Du brouillard où gémit la mer 62
I. Le cœur a roulé dans la braise 67
II. Les ailes blanches sont pour toi 68
III. Ce soir la pluie aime les tombes 70
IV. Un soir viendra 72
V. C’était si doux, c’était si triste 74 VI. Grince et vire la girouette 76
VII. Je bercerai l’amour 78
Dans la ténèbre j’ai sculpté 81
I. Toi qui vis dans les flots. Orion s’abîmer 82
II. Une jacinthe riche 84
III. De mes désirs issue 86
IV. Tu dis ? — Personne n’a parlé 88
V. Ah, d’un pic solitaire 91
VI. Vers le brouillard épais 93
VII. Je m’en irai parmi les myrtes 94
VIII. Je cherche à consoler 96
IX. Au vent froid de la nuit 98
X. Sur la grève trop claire 99
XI. De tant d’amours 103
XII. J’hésite si c’est toi qu’il faut que je rejoigne 106
XIII. Il y eut la nuit folle, il y eut la nuit triste 107
XIV. L’être que seul j’aimai 109
XV. Si la molle chanson 111
XVI. Tu naissais 114
XVII. D’un geste tu créais des ciels 116
XVIII. Je ne sais si tu vis ces ailes 118
XIX. Comme les printemps las 119