Livre:Victor Alfieri, Mémoires, 1840.djvu

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TitreMémoires Voir l'entité sur Wikidata
AuteurVictor Alfieri Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurAntoine de Latour Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionCharpentier, Libraire-éditeur
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1840
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TABLE DES MATIÈRES.






ENFANCE. Elle embrasse neuf années de végétation.

Chapitre Ier. Naissance et parens. 
 7
Chapitre II. Souvenirs d’enfance. 
 10
Chapitre III. Premiers symptômes d’un caractère passionné. 
 13
Chapitre IV. Développement du caractère indiqué par divers petits faits 
 18
Chapitre V. Dernière historiette de mon enfance. 
 25



ADOLESCENCE. Elle embrasse huit années de prétendue éducation.

Chapitre Ier. Départ de la maison maternelle, et entrée à l’Académie de Turin. — Description de l’Académie. 
 33
Chapitre II. Premières études. — Études pédantesques mal faites. 
 37
Chapitre III. Les parens auxquels fut confiée mon ado­lescence à Turin. 
 42
Chapitre IV. Continuation de ces prétendues études. 
 46
Chapitre V. Divers événemens sans intérêt. — Même sujet que le précédent. 
 53
Chapitre VI. Faiblesse de ma complexion. — Maladies continuelles. — Incapacité pour tout exercice, surtout pour la danse. — Pourquoi. 
 61
Chapitre VII. Mort de mon oncle paternel. — Je deviens libre pour la première fois. — Mon entrée dans les pre­miers appartenons de l’Académie. 
 67
Chapitre VIII. Oisiveté complète. — Il m’arrive des con­trariétés que je supporte avec constance. 
 75
Chapitre IX. Mariage de ma sœur. — Ma réhabilitation. — Mon premier cheval. 
 77
Chapitre X. Première amourette. — Premier voyage. — Mon début dans les armes. 
 81



JEUNESSE. Elle embrasse environ dix années de voyages et de dérèglemens.

Chapitre Ier. Premier voyage. — Milan. — Florence. — Rome. 
 87
Chapitre II. Suite des voyages. — Je me délivre aussi du gouverneur. 
 95
Chapitre III. Suite des voyages. — Mon premier trait d’avarice. 
 101
Chapitre IV. Fin du voyage d’Italie. — Mon premier voyage à Paris. 
 108
Chapitre V. Premier séjour à Paris. 
 115
Chapitre VI. Voyage en Angleterre et en Hollande. — Premier empêchement d’amour. 
 120
Chapitre VII. Revenu pour six mois dans ma patrie, je me livre à l’étude de la philosophie. 
 130
Chapitre VIII. Second voyage. — L’Allemagne, le Danemarck el la Suède. 
 136
Chapitre IX. Continuation de mes voyages : la Russie, encore la Prusse, Spa, la Hollande et l’Angleterre 
 144
Chapitre X. Nouvel et terrible accident d’amour. 
 153
Chapitre XI. Horrible désenchantement. 
 170
Chapitre XII. Je reprends mes courses. — Nouveaux voyages en Hollande, en France, en Espagne, en Portugal, et retour dans ma patrie. 
 178
Chapitre XIII. Peu de temps après mon retour dans ma patrie, je retombe une troisième fois dans les filets de l’amour. — Premiers essais de poésie. 
 195
Chapitre XIV. Maladie et retour à la santé. 
 201
Chapitre XV. Véritable délivrance. — Mon premier sonnet. 
 214



VIRILITÉ. Elle embrasse plus de trente années, pendant lesquelles je compose, je traduit et me livre à diverses études

Chapitre Ier. Mes deux premières tragédies, Philippe II et Polynice, conçues et tentes en prose française — Chemin faisant un déluge de mauvaises rimes. 
 245
Chapitre II. Je reprends un maître pour expliquer Horace. — Premier voyage littéraire en Toscane. 
 262
Chapitre III. Je m’obstine a me livrer aux études les plus ingrates. 
 274
Chapitre IV. Second voyage littéraire en Toscane. Je le gâte par un sot luxe d’équipage Je me lie d’amitié avec Gandellini. Travaux accomplis ou ébauches à Sienne. 
 280
Chapitre V. Un amour digne de moi m’enchaîne enfin pour toujours. 
 289
Chapitre VI. Donation entière de mes biens à ma sœur. — Nouvel accès d’avarice. 
 295
Chapitre VII. Études poursuivies avec passion à Florence. 
 307
Chapitre VIII. Accident qui me force a retournera Naples et à Rome, ou je me fixe. 
 313
Chapitre IX. Je reprends mes études a Rome, ou je les pousse vivement. J’achève mes quatorze premières tragédies. 
 320
Chapitre X. L’Antigone est représentée a Rome. — J’imprime mes quatre premières tragédies — Séparation bien douloureuse — Voyage en Lombardie. 
 327
Chapitre XI. J’imprime encore six autres tragédies — Diverses critiques adressées aux quatre premières — Réponse a la lettre de Calsabigi. 
 342
Chapitre XII. Troisième voyage en Angleterre, uniquement pour y acheter des chevaux. 
 349
Chapitre XIII. Court séjour a Turin — J’y assiste à la représentation de Virginie. 
 357
Chapitre XIV. Voyage en Alsace. — Je revois mon amie. — Je fais le plan de trois nouvelles tragédies. — Mort inattendue de mon cher Gori à Sienne. 
 366
Chapitre XV. Séjour à Pise. — J’y écris le Panégyrique de Trajan et d’autres ouvrages. 
 375
Chapitre XVI. Second voyage en Alsace, ou je me fixe. — Conception et développement des deux Brutus et de l’Albert. — Études reprises avec chaleur. 
 380
Chapitre XVII. Voyage à Paris. — Retour en Alsace, après avoir pris des engagemens avec Didot pour l’impression de toutes mes tragédies, au nombre de dix-neuf. — Cruelle maladie en Alsace, où mon ami Caluso était venu passer l’été avec moi. 
 386
Chapitre XVIII. Séjour de plus de trois ans à Paris. — Impression de toutes mes tragédies. — Je fais imprimer en même temps plusieurs autres ouvrages à Kehl. 
 398
Chapitre XIX. Commencement des troubles de France. Ils me dérangent de plusieurs manières, et me transforment de poète en discoureur. — Mon opinion sur les choses présentes et futures de ce royaume. 
 403



Chapitre XX. Après avoir entièrement achevé le premier envoi de mes impressions, je m’applique a traduire Virgile et Térence. — But de ce travail. 
 410
Chapitre XXI. Quatrième voyage en Angleterre et en Hollande. — Retour à Paris, ou les circonstances nous obligent à nous fixer. 
 413
Chapitre XXII. Fuite de Paris. — Retour en Italie par la Flandre et toute l’Allemagne — Nous nous fixons à Florence. 
 419
Chapitre XXIII. Peu à peu je me remets à l’étude — J’achève mes traductions. — Je recommence à écrire quelque petite chose de mon propre fonds. — Je trouve à Florence une maison fort agréable. — Je me livre à la déclamation. 
 430
Chapitre XXIV. La curiosité et la honte me poussent a lire Homère et les tragiques grecs dans des traductions littérales. — Je continue avec tiédeur les satires et autres bagatelles. 
 435
Chapitre XXV. Pourquoi, comment, et dans quel but, je finis par me résoudre à faire par moi-même une étude sérieuse et approfondie de la langue grecque. 
 437
Chapitre XXVI. Résultat inattendu de mes études un peu tardives sur la langue grecque. — Parjure à Apollon pour la dernière fois, j’écris la seconde Alceste. 
 442
Chapitre XXVII. Je finis le Misogallo. — Je termine ma carrière poétique parla Teleutodia. —Je recueille l’Abel, ainsi que les deux Alceste et l’Avis. — Distribution hebdomadaire de mes études — Ainsi préparé et armé d’épitaphes, j’attends l’invasion des Français, qui arrive en mars 1799. 
 454
Chapitre XXVIII. Mes occupations à la campagne — Départ des Français. — Notre retour à Florence. — Lettres de C… — J’apprends avec douleur qu’il se prépare a Paris une édition de mes ouvrages de Kehl, qui n’avaient jamais été publiés. 
 464
Chapitre XXIX. Seconde invasion. — Ennuyeuse insistance du général littérateur. — Paix telle quelle, qui adoucit un peu mes misères. — Six comédies conçues a la fois. 
 476
Chapitre XXX. Je développe mes comédies en prose, un an après en avoir fait le plan. — Je laisse passer une autre année avant de les mettre en vers. — Ce double travail altère profondément ma santé. — Je revois l’abbé de Caluso à Florence. 
 485
Chapitre XXXI. Mon intention sur toute cette partie de mes œuvres inédites. — Las, épuisé, je renonce à toute entreprise nouvelle. — Plus propre désormais à défaire qu’à faire, je sors volontairement de la quatrième époque de ma vie, et à l’âge de cinquante-cinq ans et demi, je me constitue vieux, après vingt-huit ans passés presque tout entiers à inventer, à vérifier, à traduire, à étudier. — Vain, comme un écolier, d’avoir à peu près surmonté la difficulté du grec, je crée un ordre nouveau, et je m’arme chevalier d’Homère, de ma propre main. 
 491
Lettre de M. l’abbé de Caluso, destinée à servir de complément à ces Mémoires, avec le récit de la mort de l’auteur. 
 495



FIN DE LA TABLE.


MÉMOIRES

DE

VICTOR D’ALFIERI,

D’ASTI,

ÉCRITS PAR LUI-MÊME,

et traduit de l’italien,

PAR ANTOINE DE LATOUR.




PARIS,
CHARPENTIER, LIBRAIRE-ÉDITEUR,
29, RUE DE SEINE.

1840.