Livre:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 10.djvu

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TABLE DES SOMMAIRES





Le triomphe de l’indiscipline et du meurtre à son contre-coup. — Le gouvernement impuissant et désarmé. — Rigueurs de l’hiver. — Cherté des grains. — Le gouvernement rendu responsable de ces calamités. — L’accusation d’accaparement est un arrêt de mort. — Assassinat de Simoneau, maire d’Étampes. — Le duc d’Orléans cherche à se rapprocher du roi. — Son portrait. — Sa disgrâce. — Ses voyages. — Madame de Genlis chargée de l’éducation de ses enfants. — Parti d’Orléans. — La réconciliation entre le duc d’Orléans et le roi échoue. — Le duc d’Orléans passe aux Jacobins. — Armements de l’empereur. — La France se décide à la guerre. 



Mort de Léopold. — Destitution de M. de Narbonne. — Assassinat de Gustave, roi de Suède. — Le cabinet de Louis XVI. — Tous les partis se réunissent pour le renverser. — Brissot l’homme politique de la Gironde. — Ministère girondin. — Dumouriez à la guerre. — Roland à l’intérieur. 
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Dumouriez. — Son portrait. — Difficultés de la situation de Roland. — Dumouriez conciliateur entre le roi et la nation. — Conseils qu’il donne à la reine. — Sa présence aux Jacobins. — Il se coiffe du bonnet rouge et embrasse Robespierre. — Lettre du roi à l’Assemblée. — Le roi donne son adhésion au choix des nouveaux ministres. — L’harmonie semble régner dans le conseil. — Réunion des Girondins chez madame Roland. — Lettre confidentielle de Roland au roi. — Rapports secrets entre Vergniaud, Guadet, Gensonné et le château. — Dissentiments entre Dumouriez et les Girondins. — Dumouriez se rapproche de Danton. — Antagonisme de Brissot et de Robespierre. — Discours de Brissot. — Discours de Robespierre. 
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Les journaux prennent parti dans ces guerres intestines. — Négociations de Dumouriez avec l’Autriche. — Le duc de Brunswick. — Le roi propose la guerre. — Acclamations générales. — La guerre est votée. — Plan de campagne de Dumouriez. — La Fayette temporise. — Considérations sur la Belgique. — Coblentz capitale de l’émigration française. — Le comte de Provence. — Le comte d’Artois. — Le prince de Condé. — Louis XVI otage de la France. — La reine regardée comme l’âme du comité autrichien. — Manifeste du duc de Brunswick. 
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Discorde dans le conseil des ministres. — Camp de vingt mille hommes autour de Paris. — Le roi refuse de nouveau sa sanction au décret contre les prêtres. — Roland, Clavière et Servan sont destitués. — Roland lit à l’Assemblée sa lettre confidentielle au roi. — Le roi refuse définitivement de sanctionner le décret contre les prêtres. — Rassemblements au faubourg Saint-Antoine. — Dumouriez donne sa démission. — Nouveau ministère formé le 17 juin. — Départ de Dumouriez pour l’armée. — Ses adieux au roi. — La maison de madame Roland centre du parti girondin. — On y conspire la suppression de la monarchie. — Barbaroux. — Buzot ami de madame Roland. — Danton. — Sa naissance. — Son portrait. — Hostilités en Belgique. — Revers. — Leurs causes. — Généraux. — Paris consterné. — État de la France. 
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Le pouvoir passe dans la commune de Paris. — Pétion. — Sa popularité. — Caractère des factions. — Les hommes qui les fomentent. — Réunion de Charenton. — Attaque résolue contre le château. — Journée du 20 juin. — Le peuple, parti de la place de la Bastille, se recrute dans sa marche. — Ses chefs : Santerre, Saint-Huruge, Théroigne de Méricourt. — Tableau de ce soulèvement populaire. — L’Assemblée permet aux conjurés armés de défiler devant elle. — Elle suspend sa séance. — Troupes disposées dans les cours des Tuileries. — Gentilshommes accourus au château. — Le roi fait ouvrir les portes. — Pétion, maire de Paris, se dérobe à sa responsabilité. — Les insurgés aux Tuileries. — Dévouement de Madame Élisabeth. — Le roi forcé de mettre le bonnet rouge sur sa tête. — La reine et ses enfants au milieu des insurgés. — L’Assemblée rouvre sa séance. — Elle est impuissante à arrêter les masses. — Pétion revient aux Tuileries et disperse enfin la sédition. — Les Marseillais à Paris. — Leur chant de guerre. — Le peuple se porte à leur rencontre. — Origine de la Marseillaise
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Réaction contre le 20 juin. — Pétion suspendu par le directoire de Paris. — Indignation de l’armée. — La Fayette vient à Paris. — Son discours à l’Assemblée. — Double rôle de Danton. — Les démarches de La Fayette sans résultat. — La reine compte sur Danton. — Intelligences des Girondins avec la cour. — Guadet secrètement introduit aux Tuileries. — Son attendrissement. 
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Troisième lettre de La Fayette à l’Assemblée. — Alarmes des patriotes. — Robespierre à l’écart des mouvements. — Motions de Danton. — La Fayette accusé par l’Assemblée. — Le roi sanctionne la suspension de Pétion. — Irritation des partis. — Vergniaud prend la parole. — Mœurs et caractère de Vergniaud. — Son éducation. — Son portrait. — Discours de Vergniaud. — Adresse des Jacobins aux fédérés rédigée par Robespierre. — Danton provoque une nouvelle pétition au Champ de Mars. 
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Premières insurrections en Bretagne et dans le Vivarais. — Exaltation des patriotes. — Chabot. — Grangeneuve. — Tentative de réconciliation des partis à l’Assemblée. — Lamourette. — La suspension de Pétion envenime les ressentiments. — Terreur de la reine à l’approche du jour de la fédération. — Craintes de la famille royale. — Espoir de la reine. — Outrages à la famille royale. — L’armoire de fer. — Le roi et la famille royale au Champ de Mars. — Assassinats. — D’Éprémesnil. — Situation de la garde nationale. — Barbaroux et Rebecqui chefs des Marseillais. — Madame Roland âme du 10 août. — Pétion complice. — Barbaroux, Danton, Santerre à la tête du mouvement. — Conciliabules secrets à Charenton. — Repas aux Champs-Élysées. — Rixes entre les Marseillais et les royalistes. — Tentative des amis de Robespierre pour lui donner la dictature. 
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Fermentation. — Les Marseillais et la commune de Paris demandent la déchéance. — La cour se prépare à la résistance. — Mise en accusation de La Fayette rejetée. — Les députés constitutionnels insultés. — Préparatifs des insurgés. — Nuit du 9 au 10 août. — Le tocsin. — Scènes intimes chez les conjurés. — Angoisses de la reine et de Madame Élisabeth. — Description des Tuileries. — Dénombrement des troupes. — Esprit qui les anime. — Possibilité de repousser les insurgés. 
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Courage et attitude de la reine. — Commune insurrectionnelle constituée en municipalité. — Pétion mis en état d’arrestation simulée. — Meurtre de Mandat. — Santerre nommé à sa place au commandement général de la garde nationale. — Intérieur du château. — Les dames de la reine. — La duchesse de Maillé. — Rœderer. — Masse toujours croissante des assaillants. — Le roi passe la revue des troupes. — Double esprit de la garde nationale. — Danton harangue les Marseillais. — Il rentre chez lui pour attendre l’événement. 
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Les insurgés se mettent en marche — Westermann s’empare du commandement de l’avant-garde. — Dispositions qu’il prend. — Ses antécédents. — Rœderer engage le roi à se rendre dans le sein de l’Assemblée. — Le roi s’y résout. — Départ. — Traversée du jardin. — Aspect de l’Assemblée. — Paroles du roi. — Réponse du président (Vergniaud). — Le roi et sa famille dans la loge du logographe. — Réponse du peintre David au roi. — Arrestation de Suleau et de plusieurs autres royalistes. — Ils sont massacrés. — Confusion générale au château. — Victoire passagère des Suisses. — Émotion de l’Assemblée. — Les Marseillais attaquent de nouveau les Tuileries. — Défense et massacre général des Suisses. — Le peuple au sac du château. — Égorgements. — MM. de Virieu, de Lamartine, de Vioménil. — Le jeune Charles d’Autichamp. — Le vicomte de Broves. — Les dames d’honneur et les femmes de la reine. — MM. Sallas, Marchais, Diet. — M. de Clermont-Tonnerre est égorgé. — Westermann chez Danton. 
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