Page:Cinq nô.djvu/195

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soToBA-xomAcH1 iw scum v <*>. S;rn; (tendant son chapeau vers les moines), Ah ! donnez-moi quelque chose, ah! moines! ah! wmu. Que veux-tu? surrs. Ah ! moines! je veux aller auprés de Komachi. wma. ` Mais tu es toi-méme Komachi! Pourquoi dis—tu une chose aussi absurde? surrs. Ah! de celle qui s’appelait Komachi la beauté était si grande! D’ici, de lin, [de tous cotés], lettres et billets Lu! étaient écrits, nombreux comme Ia pluie d’été assom- [brissant Le ciel. Pas une seule fois elle ne répondit, fut-ce par un - [mensonge! Elle a vécu, elle est devenue centenaire, et voilin son [chéitiment. Ah! que je l’aimel ah! que ie l’aimel wma. Tu l’aimes, dis-tu! Mais quel est donc l’esprit qui s’est emparé de tol ? sums. Ah! qu’ils furent riombreux ceux qui donnérent leur _ cmur in Komachi ! I