Page:Henri Poincaré - Leçons sur la théorie de l'élasticité, 1892.djvu/69

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ÉQUATIONS d'ÉQUILIBRK. — PRESSIONS 59 On obtiendrait de même: A7-f-Bm-\-O'/i+Py=o A'7 -fB"m -f C'n -fP,=o dX,dW,dC T+-, hl Yz=o dx dy dz d\" j^fJ^x^lSL. 7_ dx dy'dz 33. On peut se demander ce que deviennent nos équations d'équilibre quand on suppose que les molécules du corps élastique, au lieu d'être libres, sont soumises à des liaisons. Supposons, pour simplifier, qu'il y ait une seule équation de liaison J=o, J dépendra des dérivées partielles de ;, v], ^; nous pourrons supposer, par exemple, qu'il dépend seulement des neuf déri- vées du premier ordre, et que c'est une fonction linéaire de ces neuf dérivées. L'équation d'équilibre du N" 31 s'écrivait : (i) Jl (W, + Wo) dT -i -fiXZl + Y?yf^- -ZK) dx 4- J(P^8; + P,/>/i + P^Sg rfco = o; et dans le cas où les molécules étaient supposées libres, elle devait être satisfaite quels que soient les accroissemenls vir- tuels 8?, Sy), oC. S'il y a une liaison, cette équation devra encore être satisfaite mais seulement quand les accroissements virtuels Sç, Sv), oC