Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome16.djvu/45

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il DE RENJDIATA A RÈGfi PBfUPPO BERTRXDA, T. "XIV, p. 7M. T. XII, p. 636. ’ÛM~MMHt*’ ~tM~t< ’iMMiwtM~ ’~)~ MLa~Lt~ r* lAfMf1 iMià a» ^MhM^^|^a ,^y^^j|A «  <Mt)MM~ ~M~ t~ ’tM~WWt ’~MMt. <MWtt t 0« f) !ttt ~r ’<tttttt<t"’ fÛMMft MMirte fW»l« «H^MfU fbtyHH ~j~HMBww~ ~)~t~n<t~««~~w~~ ’J |>m ,1 in^nii MA* .«m’’ MMlJlÉ MÉL* jTHHm tfmrvmmm jnv m wwn» J^ sarir.af ; l~ erP iugtpma t. Of OtttttWOMtOXt «t ttMft ~jir~rr~, -de qiuirum tiumettositate ifle «utpfebattttY t)~««/ <tt<t)w ottjWtMtHe. fWtamt «W ntm mm’ amtâsct* emjfui f/ùsU ÏWeçum flmrihtt aiktmn* uxoniui quim trOt» iOit piprè mm* rat», RiU&rM M Belge* s Ermmgaré» à* B»hm», « Bttt^im de Motkttforti. non Mpanwt ywgww v ttiiMi oû^umài kabtùm ̃ demi <(*bina

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ViWi» probare. tnmdvmu tehOum mm futur à lege wttnmmi mm» 1069, cùm Bertndm ttfpeterri mftia» «  emm tuptrttita hme finumt prient ejus ctmjuge* mT intégra ttmm matrimonia, trf tmtiquêm rtHoiuient -pmUm proatrtitom, <pd diffaia qttmifkmt ne emeupium et jmelkm traiermt. Quidrutm auto* repomterint Mi, docet no* Orderiau ViUtlU, habitum ta de «  tractation Umgo exeeuttu sermtme. < AudienUt, mquit, Cemmami > ndwm Normomànm (d etl beltmn > quod emernt part obitwm Gmllebm > conquettorit miar fitio» qut Bobtr[itum et GmMumm ) cogitaverunt iftutuomtm ejxmtere à ttjugttm eonm, > quod ohm faetre tmUtotm txmmti mmt » Wb GuiUebm Magna Bege Angb» rum. Hoc Robert»* Dix ut compe> riit, legatot et «un» Fuloom Ande> gavonun tatrapm destinant ebmxè » rogant ut Cmmmmm à temtrmrio > autu oompœeret t te tu rttrwuimtitm » ad as graviter mgroUmtem oemret. At Ule obmranti Ubmter aéqmmt i Ducmque jtm emmte$eemtem- faw> nil. Poet phtrima pack # amicilim > colloqma t Fuico Cernée était J*d> berto Si raihi quaœ valdè cupio » rem fecrr» unam Cenonumno» » tibi subjiciao», et omni tdnpore > tibi ut amieuft fidditer serviam. âdoiWS «I «ait 4» «é* Aett» Atfo»*» w wwcwiwB firanwyr uni- ttui wj| -wi-iijm»* de ftitw hr^i^i^t ««dit épomêt*. Ça rffet, ’ht %Kl%t^ d* D(e^ poor Ion trehetéqoe de Lyo» «* «annani I Fo«lqu«  l’àtMoiiiâM de» <ytMMt» qaTI «voit «koorum ptx*r **oir taon en nriteori -KfidaDt bogue* taoéea, «m frêne Geofroi-lerBarbu, lu» «oit pour ooadition dette phucoiitractfr denouretta miriaggywa son conSeutnatMit, fwreet^u’on lui reprachoti «vec rateçm la multipticitédeseç femmea. Neaa ne déciderons jm s’il fiiut oonchire de ce pa«age que Foôlques aurait épousé un pkn grand honore de WBinies t(ue les trois <f«e nous avons nommées, Hîtdegarde de Baugenci, Ermengarde de Bourbon, et v Bertrade de Montfort. D est possible qu’il .ait ea encore des concubines ou des mattreaaes ma» nous ToukMU- prouver, par l’autorité d’Orderic Vital que Foulques étoH libre de tout mariage l’an 1089, lorsqu’il recherchait la main de Bertrade ; car si, î cette époque, tes deux premières femmes eussent été existantes y ou que leur mariage n’eût pas été dissous légalement, les pRrens de la jeune personne qui alléguoient tant de motifs de ne pas raecorder, n’auraient pas manqué de faire valoir cettf raison. Cependant voici les seuls inconvéniens qu’ils trouvoient à ctrtte union. selon Orderif Vital, qui raconte fort au long ce qui ae pasaa à cette occasion. « Les habitai» du Maine, témoins, dit-il, » des divisions qui après la mort de Guil» laume-le-Conquérant s’étoient élevées » entre ses enfans, Guillaume-le-Roux’ et Robert Duc de Normandie, saisirent cette » occasion favorable de secouer le joug des Normands, comme ils avoient essayé de le > faire plusieurs fois du vivant du conq> rant de l’Angleterre. Le Duc Robert, » averti du complot qui se formoit, envoya à Foulques, Comte d’Anjou, des ambas> sadeurs chargés de présens le priant instamment de détourner les Manseaux d’un projet si téméraire, et de venir te trouver en Normandie, parce qu’il étoit » grièvement malade. Le Comte, s’étant » rendu avec empressement à ses désirs > trouva le Duo en parfaite convalescence. • Après plusieurs conférences amicales, le » Comte tint au Duc/ce discours Si mu* » m’oeeerdex une choerque j’ai fort à cœur, » no* feulement je contiendrai lee Manteaux £ > dan*