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LUBBOCK ON THE ANTIQUITY OF MAN.
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quenoise à Hirson[1] la vallée en présente que des fragments plus ou moins roulés des roches de transition que traverse le cours de la Rivière. En descendant à Etréaupont, on y trouve des calcaires jurassiques et des silex de la craie, formations qui ont succédé aux roches anciennes. A Guise, le dépôt erratique .......... est composé de quartzites et de schistes de transition de quelques gruès plus recent, de silex de la craie, et surtout de quartz laiteux, dont le volume varie depuis celui de la tête jusqu' à celui de grain de sable .... Au delà les fragments de roches anciennes deminuent graduellement en volume et en nombre." At Paris we found the granitic debris brought down by the Yonne to form a notable proportion of the gravel; and at Précy, near Creil on the Oise, the fragments of the ancient rocks were abundant; but lower down the Seine at Mantes, they had both diminished very much in quantity, and at Rouen and Pont de l'Arche we saw none, though a longer search would doubtless have shown us fragments of them. This case of the Oise is however interesting, not only on account of the valuable evidence contained in the above quotation, but because, though it flows, as a glance at the map will show, immediately across and at right angles to the Somme, yet none of the ancient rocks which form the valley of the Oise, have supplied any debris to the valley of the Somme: and this though the two rivers are at one point within six miles of one another, and separated by a ridge of only 80 feet in height.

The same division occurs between the Seine and the Loire: "bien que la ligne de partage des eaux de la Loire et de la Seine, entre St. Amand (Nièvre) et Artenay, au nord d'Orléans, soit a peine sensible, aucun débris de roches venant du centre de la France, par la vallée de la Loire n'est passé dans le bassin de la Seine."[2]

In the Vivarais near Auvergne, "Les dépôts diluviens, sont composés des mêmes roches que celles que les rivières actuelles entrainent dans les vallées, et sont les débris des seules montagnes de la Lozin, du Tanargue et du Mézene, qui entourent le bassin du Vivarais.[3]

Again,

"Le diluvium des vallées de l'Aisne et de l'Aire ne renferme que les débris plus ou moins roulés des terrains que ces rivières coupent dans leur cours."[4]

Other instances of the same law may be quoted; Mr. Prestwich has found it to hold good in England, but as it is an important link in the chain of evidence on which his views depend, it seemed better to take the facts from other observers. The conclusion deduced by M. D'Archiac from the consideration of these observations, and specially from those concerning the valley of the Seine, was "que les courants diluviens ne venaient point d'une direction unique mais


  1. D'Archiac, l. c. p. 155.
  2. D'Archiac, l c. p. 164.
  3. D'Archiac, 1. c. p. 160.
  4. Malbos. Bull. Geol. Vol. III. p. 631.