Page:BijaGanita.djvu/386

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( 41 } la partle reelle > -; _ ■ — i ne peut elre positive, nioins que le d^nominateur f^ -}- (p ne soit plus petit quey- ce qui n'a lieu qu'autant que^ et <p sont des fractions , et qu'on a "P </ — /^ , ou <P </( i — f) ; d'oii il suit que <P est alors moindre que ou 0,26; vu que est , comme on sait , le plus grand produit que puisse donner una fraction multijili^e par son complement i I'unit^. Ce cas est le seul qui, introduisant dans la transformee eu(-?, — i) des facteursde la forme {z-^ — i)^ — P {z^ — i)+Qj pourroit y donner lieu a des variations do signe, et laisser subsister la presomption de I'existence des racines entre zero et un dans I'equation en (:r — p}. 58. Ce cas d'exception s'evauouira necessairement par I'eifct des operations ulterieures de notre M(5lhode , comrae on va le voir dans le chapitre suivant. Mais il suit d^s a present, du numero precedent , que la secoude partie de cette Methode fait connoitre avec certitude, tantot I'absence de toute racine reelle dans I'equation en (.r — p) entre o et i ; tantot I'alternative de I'exis- tence de plusieurs racines entre zero et i , ou de celle d'une couple , au moins,de racines iraaginaires, dont la partie reelle est une fraction propremcnt dite , tandis que la quantite precedee du signe — sous le signc ra- dical , est moindre que ou 0,26, et meme que le pro- duit de la partie reelle par son complement a I'unite.