Page:Clouds without Water (Crowley, 1909).djvu/21

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III

Satyre se moquant des femmes légitimes,
La mort est une blague, et l'amour trop comique.
Vois êtes un dieu! pour vous les seules choses intimes,
Dieu qui m'a baisé tant! sont les choses cosmiques.
Satyre se moquant des femmes légitimes!

IV

Dieu qui m'a baisé tant! Baisez-moi donc encore!
Vois m'avez rendu ma chère virginité.
C'est pourquoi follement sous vous, ah! je me tords
Eros inconnu, masque illisible et doré!
Dieu qui m'a baisé tant! Baisez-moi donc encore!

V

Vous qui vous dressez sur l'abîme de l'enfer,
Vous dont les plumes gravissent le haut des cieux,
A moi la bouche d'or, à moi le v.. de fer!
A l'âme, au corps! je suis la déesse des dieux—
Et je me dresse sur l'abîme de l'enfer.

XVIII