Page:Lives of Fair and Gallant Ladies Volume II.djvu/181

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LIVES OF FAIR AND GALLANT LADIES

quoi a-t-il tenu?" demanda à son fils. Il répondit tout follement qu'il ne savait comment il fallait faire. Sur quoi il prit son fils par une main et la nore par une autre et les mena tous deux en une chambre et leur dit: "Or je vous veux donc montrer comme il faut faire." Et fit coucher sa nore sur un bout de lit, et lui fait bien élargir les jambes, et puis dit à son fils: "Or vois comment je fais," et dit à sa nore: "Ne bougez, non importe, il n'y a point de mal." Et en mettant son membre bien arboré dedans, dit: "Avise bien comme je fais et comme je dis, Dentro fuero, dentro fuero," et répliqua souvent ces deux mots en s'avançant dedans et reculant, non pourtant tout dehors. Et ainsi, après ces fréquentes agitations et paroles, dentro et fuero, quand ce vint à la consommation, il se mit à dire brusquement et vite: Dentro, dentro, dentro, dentro, jusqu'à ce qu'il eût fait. Au diable le mot de fuero. Et par ainsi, pensant faire du magister, il fut tout à plat adultère de sa nore, laquelle, ou qu'elle fit de la niaise ou, pour mieux dire, de la fine, s'en trouva très bien pour ce coup, voire pour d'autres que lui donna le fils et le père et tout, possible pour lui mieux apprendre sa leçon, laquelle il ne uli voulut pas apprendre à demi ni à moitié, mais à perfection. Aussi toute leçon ne vaut rieu autrement.

I have heard many enterprising and successful Lovelaces declare how that they have often seen ladies in these faints and swoonings, yet always readily coming to again afterward. Many women, they said, do cry out: "Alackaday! I am a-dying!"—but 'tis, I ween, a mighty agreeable sort of death. Others there be which do turn back their eyes in their head for excess of pleasure, as if about to expire outright, and let themselves

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