savage and degraded state-of its inhabitants: the same navigator afterwards (in 1699) visited the West and North-west Coasts in His Majesty's ship Roebuck, in
de vivres, et Fon ne voioit rien dans tout le pa?s qui .pfit servir de nouriture. Les montagnes n'6toieat que ?des rochers; les val?es ?toient de vrais d?ertz; les plaine, n'&oient que des mble? Le rivage L?oit audi bord? de roches, contre lesquelles h met br/?t avec d'/dro'/ables "Ceux qui ttoient ? demeurez se trouvoie?t au nom- bre de tre?ze hornroes, qui furent bient?t fatiguez, afoiblis et att?nuez. La faire les pre?oit, le froid et lq?umidit? les fzJ?oient soulfir, et ils se regardoient cornroe con- ?damnez ? ]a mort. II n'y avoit rien ? espb. rer du bris; les vagues avoient tout fait rouler qA et h? d?n? la ruer. En?n /t force de courir et de chercher que. klue chine qu'ils pus?ent manger, fls aper?urent entre les rochers qui t?ient le long du rivage, de grin limaone, et de plus petits, qui y venoient de la ruer, et dont le gofig, qui ?toit pa?able, perut excellent ? des gens atramez. n'aiant point de feu pour les faire cuire, l'usage continuel quids en fxrent, commen?a de les iacc?moder, et ils ? tirent bien que ce foible reindie ne le?. emlR?hemit ? de mourir dan? peu de terns. "Enfin ne voiant de toutes parts qu'une mort cer- laine,? ils prirent la l?olution de s'?'/? la merci. des tiot?,. dans l'eq?L?mce que s'il ne se pr?ntoit rien de plus favorable pour eux ?ur la ruer qu e sur h terre,
