chess, and there, as was, alas! often the case, forgot the engagement and his better self. "Il s'absintha—lisez s'absenta." Such was the joke made at his expense next day.
Alfred addressed some stanzas to her on this occasion; they were never, however, sent, and were found among his papers long afterwards:—
Si ta bouche ne doit rien dire
De ces vers désormais sans prix;
Si je n'ai pour être compris,
Ni tes larmes ni ton sourire;
Si dans ta voix, si dans tes traits,
Ne vit plus le feu qui m'anime;
Si le noble cœur de Monime
Ne doit plus savoir mes secrets;
Si ta triste lettre est signée;
Si les gardiens d'un vieux tombeau
Laissent leur prêtresse indignée
Sortir, emportant son flambeau;
Cette langue de ma pensée,
Que tu connais, que tu soutiens,
Ne sera jamais prononcée
Par d'autres accents que les tiens.
Périsse plutôt ma mémoire
Et mon beau rêve ambitieux!
Men génie était dans ta gloire;
Mon courage était dans tes yeux.
When they met again it was at a supper given by Buloz, editor of the Revue des Deux Mondes. Alfred wrote to his brother, then in Italy:—