Page:The Elizabethan stage (Volume 3).pdf/275

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to the 'number of strange knights abroad' (iv. 1. 28) and perhaps also that to the crying down of monopolies (I. i. 125) are Jacobean,

rather than Elizabethan (cf. M. d'Olive). Fleay, i. 61, and Parrott think that the satire of justice in the last act shows resentment at Chapman's treatment in connexion with Eastward Ho!, and suggest 1605. It would be equally sound to argue that this is just the date when Chapman would have been most careful to avoid criticism of this kind. The Epistle says, 'This poor comedy (of many desired to see printed) I thought not utterly unworthy that affectionate design in me'.

Charles, Duke of Byron. 1608

S. R. 1608, June 5 (Buck). 'A booke called The Conspiracy and Tragedie of Charles Duke of Byronn written by Georg Chapman.' Thomas Thorp (Arber, iii. 380).

1608. The Conspiracie, And Tragedie of Charles Duke of Byron, Marshall of France. Acted lately in two playes, at the Black-Friers. Written by George Chapman. G. Eld for Thomas Thorpe. [Epistle to Sir Thomas and Thomas Walsingham, signed 'George Chapman', and Prologue. Half-title to Part II, 'The Tragedie of Charles Duke of Byron. By George Chapman.']

1625. . . . at the Blacke-Friers, and other publique Stages. . . . N. O. for Thomas Thorpe. [Separate t.p. to Part II.]

Dissertation: T. M. Parrott, The Text of C.'s Byron (1908, M. L. R. iv. 40).

There can be no doubt (cf. vol. ii, p. 53) that this is the play denounced by the French ambassador, Antoine Lefèvre de la Boderie, in the following letter to Pierre Brulart de Puisieux, Marquis de Sillery, on 8 April 1608 (printed by J. J. Jusserand in M. L. R. vi. 203, from Bibl. Nat. MS. Fr. 15984):


'Environ la micaresme ces certains comédiens à qui j'avois fait deffendre de jouer l'histoire du feu mareschal de Biron, voyant toutte la cour dehors, ne laissèrent de le faire, et non seulement cela, mais y introduisirent la Royne et Madame de Verneuil, la première traitant celle-cy fort mal de paroles, et luy donnant un soufflet. En ayant eu advis de-là à quelques jours, aussi-tost je m'en allay trouver le Comte de Salsbury et luy fis plainte de ce que non seulement ces compaignons-là contrevenoient à la deffense qui leur avoit esté faicte, mais y adjoustoient des choses non seulement plus importantes, mais qui n'avoient que faire avec le mareschal de Biron, et au partir de-là estoient toutes faulses, dont en vérité il se montra fort courroucé. Et dès l'heure mesme envoya pour les prendre. Toutteffois il ne s'en trouva que trois, qui aussi-tost furent menez en la prison où ilz sont encore; mais le principal qui est le compositeur eschapa. Un jour ou deux devant, ilz avoient dépêché leur Roy, sa mine d'Escosse et tous ses Favorits d'une estrange sorte; [in cipher car apres luy avoir fait dépiter le ciel sur le vol d'un oyseau, et faict battre un gentilhomme pour avoir rompu ses chiens, ilz le dépeignoient ivre pour le moins une fois le jour. Ce qu'ayant sçu, je pensay qu'il seroit assez en colère contre lesdits commédiens, sans que je l'y misse davantage, et qu'il valoit mieux référer leur châtiment à l'irrévérence qu'ilz lui avoient portée, qu'à ce qu'ilz pourroient avoir dit desdites Dames], et pour ce, je me résolus de n'en plus parler, mais considérer ce qu'ilz firent. Quand ledit Sieur Roy a esté icy, il