so much attached to particular tunes, as to require to hear them on their death-bed. Such an anecdote is mentioned by the late Mr Riddel of Glenriddel, in his collection of Border tunes, respecting an air called the "Dandling of the Bairns," for which a certain Gallovidian laird is said to have evinced this strong mark of partiality. It is popularly told of a famous freebooter, that he composed the tune known by the name of Macpherson's Rant while under sentence of death, and played it at the gallows-tree. Some spirited words have been adapted to it by Burns. A similar story is recounted of a Welch bard, who composed and played on his death-bed the air called Dafyddy Garregg Wen.
But the most curious example is given by Brantome, of a maid of honour at the court of France, entitled, Mademoiselle de Limeuil. "Durant sa maladie, dont e le trespassa, jamais clle ne cessa, ains causa tousjours; car elle estoit fort grande parleuse, brocardeuse, et très-bien et fort à propos, et très-belle avec cela. Quand l'heure de sa fin fut venue, elle fit venir a soy son valet, (ainsi que le filles de la cour en ont chacune un) qui s'appelloit Julien, et scavoit très-bien jouer du violon. 'Julien, luy dit elle, prenez vostre violon et sonnez moy tousjours jusques a ce que me voyez morte (car je m'y en vais,) la défaite des Suisses, et le mieux que vous pourrez, et quand vous serez sur le mot: 'Tout est perdu,' sonnez le par quatre ou cing fois, le plus piteusement que vous pourrez,' ce qui fit l'autre, et elle-mesme luy aidoit de la voix, et quand ce vint tout est perdu,' elle le réïtera par deux fois; et se tournant