Page:The Works of the Rev. Jonathan Swift, Volume 13.djvu/481

From Wikisource
Jump to navigation Jump to search
This page has been proofread, but needs to be validated.
DR. SWIFT.
469

a crû, qu'en mettant seulement son nom aux plus mauvaises pieces, on les rendroit recommandables au publique. Notre fermier vous embrasse: il se plaint et boude de ce que vous êtes parti sans qu'il ait pu vous dire adieu; et de ce qu'il a vu une de vos lettres, où vous ne dites pas un mot pour lui: mais je vous crois comme les coquettes, qui se fiant à leurs charmes ne s'embarassent pas de leurs torts. En effet ils vous seront pardonnés à la première lettre et encore plus aisément à la première espérance de vous revoir. Adieu, monsieur, portez vous bien, et nous serons content, je ne m'aviserai pas de vous mander des nouvelles de ce pays ci: Je suis étrangère de plus en plus, et je ne serois tentée de me faire naturaliser, que dans ceux où je pourrois vivre avec vous.




TRANSLATION.


SIR,


MR. Pope has given me great pleasure, by assuring me that you are in good health, and showing me a mark of your kind remembrance, in one of your letters. I think you have chosen a wrong time to confine yourself to Dublin, while we reside at Dawley. We should have taken great care of you this winter, and joined together in our aversion to mankind, as much as you pleased; for I do not find they much improve upon a near acquaintance. The French have lately formed in France two theatrical pieces, which are said to have been drawn from Gulliver. They are such wretched stuff, that I shall not send them to you; but it is at least an indication of your honest traveller's having had such success

among