Page:Poems & poèmes.djvu/58

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Ces quais, ces platanes : Passy !
Je vous reconduis à la porte
Du cimetière que voici !
Trop tard pour entrer mais qu'importe !
— Ce haut navire attend Paris :
Mon tout premier amour, ma morte . . .
Pleurez encor, mes yeux taris ! . . .


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