Page:The life of Charlotte Brontë (IA lifeofcharlotteb01gaskrich).pdf/342

From Wikisource
Jump to navigation Jump to search
This page has been validated.
322
Life of Charlotte Brontë.

faiblesse de vue est pour moi une terrible privation; sans cela, savez-vous ce que je ferais, Monsieur? J'écrirais un livre et je le dédierais à mon maître de litterature, au seul maître que j'aie jamais eu—à vous, Monsieur! Je vous ai dit souvent en français combien je vous respecte, combien je suis redevable à votre bonté, à vos conseils. Je voudrai le dire une fois en Anglais. Cela ne se peut pas; il ne faut pas y penser. La carrière des lettres m'est fermée. . . . . . . . N'oubliez pas de me dire comment vous vous portez, comment madame et les enfants se portent? Je compte bientôt avoir de vos nouvelles; cette idée me souris, car le souvenir de vos bontés ne s'effacera jamais de ma mémoire, et tant que ce souvenir durera le respect que vous m'avez inspiré durera aussi. Agréez, Monsieur, &c."

It is probable, that even her sisters and most intimate friends did not know of this dread of ultimate blindness which beset her at this period. What eyesight she had to spare she reserved for the use of her father. She did but little plain-sewing; not more writing than could be avoided; and employed herself principally in knitting.

"April 2, 1845.

"I see plainly it is proved to us that there is scarcely a draught of unmingled happiness to be had in this world. ———'s illness comes with ———'s marriage. Mary T. finds herself free, and on that path to adventure and exertion to which she has so long been seeking